vie religieuse

Hommage – Funérailles du F. Camille Poirier, c.s.v.

Hommage – Funérailles du F. Camille Poirier, c.s.v.

Les grains de blé ou d’orge enfouis dans la terre au printemps, notre frère Camille a connu cela, lui qui a passé 31 ans sur une ferme, une ferme expérimentale qui a donné son nom au petit village de St-Viateur de La Ferme et déjà son héritage familial l’avait préparé à répéter des gestes porteurs de vie, de bons grains, d’entraide, de générosité.

La place de la vie consacrée dans l’Église

La place de la vie consacrée dans l’Église

L’année de la vie consacrée coïncide avec le cinquantième anniversaire de la promulgation de la Constitution Lumen Gentium sur l’Église dont le sixième chapitre est consacré à la vie religieuse. Elle coïncidera aussi avec le cinquantième anniversaire de la promulgation du décret Perfectae caritatis sur la rénovation adaptée de la vie religieuse. (…)

Hommage – Funérailles du F. Maurice Marcotte, c.s.v.

Hommage – Funérailles du F. Maurice Marcotte, c.s.v.

Maurice Marcotte, notre frère, fait partie de ces petits pour lesquels Jésus loue son Père : « ce que tu as caché aux sages et aux savants, tu l’as révélé aux tout-petits » – non pas aux petits enfants mais tout simplement aux petits : à eux est révélé le mystère du Royaume de Dieu, le Royaume du Père et du Fils (…)

Année de la vie consacrée : vœu d’obéissance

Année de la vie consacrée : vœu d’obéissance

À la suite de Jésus, l’obéissance à Dieu fait partie de la condition commune à tous les baptisés. En effet, l’expérience chrétienne amène le disciple à entrer dans l’obéissance du Christ. En accueillant l’amour personnel et intense que Dieu lui porte en Jésus Christ, le chrétien expérimente la communion avec le Père. Il découvre qu’il doit toute son existence à l’amour du Père.

Lettre à mes confrères originaires d’Haïti et d’Afrique

Lettre à mes confrères originaires d’Haïti et d’Afrique

J’ai pensé raconter dans une lettre une histoire, qui met en lumière la vie des Clercs de Saint-­Viateur du Canada.

À  l’école Saint-Jean-Baptiste de Montréal, parmi la vingtaine de religieux engagés auprès d’un millier d’écoliers, le frère F. Louis Gasselin se dépensait sans compter.